L’ordonnance électronique, un atout précieux pour la pratique de la médecine

Par Rashaad Bhyat

Au cours des 18 derniers mois, nous nous sommes tournés de plus en plus vers les technologies pour nos rapports sociaux, notre magasinage et notre travail – sans compter l’accès aux soins de santé. Selon un récent sondage mené pour le compte d’Inforoute Santé du Canada et de l’Association médicale canadienne, 94 % des médecins du Canada offrent actuellement des soins virtuels, et la majorité d’entre eux prévoient continuer à le faire une fois la pandémie derrière nous. Et tandis que s’accroît l’utilisation des soins virtuels, l’ordonnance électronique s’est taillé une place de choix dans l’arsenal des cliniciens.

Dr. Dhanji

Aux yeux de la Dre Soreya Dhanji, l’attrait de l’ordonnance électronique était clair : « Ce qui m’a tout de suite plu de PrescripTIon, c’est que je peux envoyer mes ordonnances en toute sécurité par voie électronique. » Avec PrescripTIon, les ordonnances transitent directement entre le dossier médical électronique (DME) d’un prescripteur et le système de gestion (SGP) de la pharmacie choisie par le patient.

La Dre Dhanji, qui est médecin de famille à Toronto, souligne que sa pratique de la médecine est plus efficace depuis l’adoption de PrescripTIon. Le service est intégré directement dans son DME, de sorte qu’elle n’a pas à jongler avec plusieurs solutions pour envoyer ses ordonnances. De même, comme elle n’a plus à utiliser de télécopieur ni à rédiger des ordonnances à la main, elle ne se demande plus si la pharmacie a bien reçu son ordonnance, ce qui lui épargne le temps qu’elle consacrait à en faire le suivi.

En fait, PrescripTIon simplifie les communications. « Avec PrescripTIon, je communique bien plus facilement avec les pharmaciens », confirme-t-elle. L’échange de communications cliniques se fait sur une plateforme sécurisée, et tout est consigné dans le DME. Ainsi, plutôt que de devoir démêler les photocopies et se résoudre à un chassé-croisé au téléphone, la Dre Dhanji peut communiquer directement avec les pharmaciens pour discuter des changements de médicaments et de posologie. Elle peut même leur donner des instructions supplémentaires : « […] comme, “Mentionnez les risques” ou “Précisez comment utiliser le médicament”. »

Oui, ces gains d’efficience et cette amélioration des communications ont fait beaucoup pour améliorer le travail de la Dre Dhanji, mais au bout du compte, ce sont ses patients qui en profitent. À ses yeux, la sécurité offerte par des services d’ordonnances électroniques comme PrescripTIon est un facteur de motivation important, qui devrait amener les prescripteurs à les adopter. « Par l’envoi sécurisé des ordonnances à la pharmacie, on réduit les risques d’erreurs médicales, on traite rapidement les patients et on améliore globalement la sécurité des patients. »

Comme nous avons pu l’observer partout dans le réseau de la santé, une meilleure connexion et une plus grande collaboration sont synonymes d’amélioration des soins. « Les patients, les pharmaciens et moi-même sommes sur la même longueur d’onde, explique la Dre Dhanji, et les soins sont vraiment axés sur le patient. » S’ils ont accès aux bons outils, les cliniciens peuvent travailler main dans la main pour offrir les meilleurs soins possible, peu importe l’endroit où eux et leurs patients se trouvent.

Regardez notre plus récente vidéo pour connaître tous les détails de l’expérience vécue par la Dre Dhanji au sujet de PrescripTIon. Et si vous avez des questions à propos de l’ordonnance électronique, soumettez-les à la Dre Dhanji et à d’autres professionnels de la santé à Question à un pair.


Vous avez des commentaires au sujet de cet article? Nous aimerions les connaître.

À propos de l'auteur
Rashaad Bhyat

Rashaad Bhyat

Le Dr Rashaad Bhyat est responsable de l'engagement des cliniciens chez Inforoute Santé du Canada. Médecin de famille et grand adepte de la santé numérique, il conseille Inforoute depuis 2011 sur des sujets tels que les soins virtuels, l'adoption et l'optimisation du DME, l'ordonnance électronique, la télésurveillance des patients et l'accès des patients à leurs dossiers médicaux. Il exerce actuellement dans une clinique de médecine familiale dotée d'un DME dans la région du Grand Toronto.